• Bien être....

    Souvenir....d'une chanson qui résonne....d'une nuit parfaite....d'un reveil plein de douceur.... de toi...


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  • "Je ressens l'émoi devant ses

          puissances du dedans"


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  • Musique : Julie la petite olive - Les wriggles

    Je suis d'humeur joyeuse! profitons en c'est tellement rare! C'est bizzarre mais je sui trés sereine.... je vais bien! Sensation nouvelle et interressante!

    "Océan d'ambre
    Mélange, mélange moi
    à tes légendes
    Mets l'ancre, l'ancre en moi
    C'est si doux la brûlure
    Là où ta main me touche, Eau
    Et coule cette écume
    De ma bouche "

    Laisse le vent emporter tout....

    Laisse le vent prendre soin de nous...

    Je me glisse dans la délectation....

    REFLEXION : Besoin et necessité de le savoir...honneur et dignité peut-être sauvés?...exemples inoubliables....choc prématuré....immortalité de leurs âmes tourmentés....ARRETEZ LE MASSACRE...mais non...naissance d'un gout d'inachevé!

    Que faire?


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  • Dors, je veille sur toi.
    Déclenche ce sommeil réparateur et ouvre ton cœur.
    Laisse moi entrer dans tes rêves et songe au bonheur d'être l'acteur de tes fantasmes.
    Aucun marasme, mais un spasme des muscles érecteurs, je suis le moteur.
    Encore, un effort, je veux que tu sois au plus profond de moi.
    En moi, c'est ça.
    Laisse toi aller et venir.
    Respire, construis un empire, pour ton vampire, et ne pense pas à notre devenir.
    Demain c'est loin.
    Mords...
    Oui, mords, et dévore pléthore de vices et glisse ta faim en prémices de tes mains.
    Moribond !
    Sale con !
    Vas-tu renaître, cicatriser ?
    Pénètre.
    Ma fleur du mal se sent mâle.
    Mort.
    Et vide de vie, de toute envie.
    Je revis car je suis au creux de tes bras.
    Putrides sont tes pensées, tétaniques sont tes actes.
    Frissons factices.
    Je m'enlise dans le malsain.
    Dévore...
    Mort, mords,...

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  • Les boyaux qui dijonctent...

    Les tripes qui brûlent...

    Entrailles en ébullition....

    "Ce n'est pas parce que mademoiselle ne va pas bien que le monde doit en pâtir!"


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